Fondé en 2011, afin d’améliorer et moderniser l’offre de soin vétérinaire en Europe, AniCura s’est progressivement imposé comme un acteur majeur de la réflexion sur la médecine animale. Parmi les problématiques soulevées par le groupe, se trouve celle de la (sur)utilisation d’antibiotiques dans les parcours de soins.
AniCura est parvenu à réduire de 50% son taux de prescription d'antibiotiques entre 2016 et 2021, se rapprochant ainsi de son objectif fixé à 5% d’usage d’ici à 2030 en médecine canine.
Loin de rejeter ces médicaments, AniCura appelle à une utilisation “modérée” de ces produits pour des raisons aussi bien médicales qu’environnementales. En effet, la prise d'antibiotiques serait à long terme néfaste pour l’animal qui développerait ce que les scientifiques nomment l'antibiorésistance, à savoir l’augmentation de la capacité des bactéries à résister aux antibiotiques.
Mettant le bien-être animal (et humain) au coeur de ses préoccupations, AniCura s’est engagé à réduire à 5% son taux d’usage d'antibiotiques à l’horizon 2030, ce qui signifie que, en moyenne, seuls 5% des patients reçus dans un établissement AniCura se verront prescrire des antibiotiques. Pour cela, le groupe réalise d’importantes actions de prévention au sein de son réseau de cliniques.